Enfin, en matière de protection sociale, demeure la question des accidents du travail et des maladies professionnelles. Il me semble là encore que permettre à des élus de cotiser au régime maladie, c'est-à-dire d'assumer des devoirs pour bénéficier de droits, dont je vois mal d'ailleurs pourquoi ils en seraient privés, n'est en rien une banalisation des élus. Nous sommes parfaitement d'accord pour estimer que ce n'est pas un métier ni une profession, mais un état temporaire. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)