Je vous invite cependant, monsieur le député, à modérer vos propos. Nous avons réussi, alors que le gouvernement précédent s’était engagé à le faire, mais qu’il ne l’a pas fait, à enrayer la dynamique des recours mafieux qui s’était emparée d’une partie de notre pays. Il n’est dans l’esprit de personne de confondre le travail légitime d’un certain nombre d’associations de protection de l’environnement avec des pratiques mafieuses.