Monsieur Door, on se serait passé de votre réflexion ! Vous m'avez reproché d'avoir évoqué le cas de Bernard Debré à la tribune. Mais M. Debré étant, que je sache, député, il pouvait me répondre. Ce n'est pas le cas de la candidate à la présidentielle de 2007. Lorsqu'on a une ligne de conduite, on s'y tient, monsieur Door. Nous avons, nous, le droit d'évoquer les erreurs du député Bernard Debré en son absence, mais utiliser l'exemple impliquant Mme Ségolène Royal est inacceptable ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)