L’article 1er de la Charte précise que les langues employées par les récents immigrants d’un État non européen ne sont pas concernées.
Ainsi, mes chers collègues, nous voyons bien aujourd’hui que le débat sur les langues régionales suscite des joutes passionnées qui tournent autour de l’intégrité de notre République. Que chacun se rassure : celle-ci ne saurait être menacée et personne ici ne s’en accommoderait. Sur le rouge du drapeau tricolore, il y a le sang versé par tous les Français.