Mon audience de non concilliation vient d'avoir lieu ce 20 janvier 2014 et pour la toute première fois de ma vie, à 40 ans et j'espère la dernière, je viens d'avoir à faire à la justice de mon pays. Celle en l'occurence, que représente le tribunal de grande instance de Paris et la section des affaires familliales. Expatrié en famille aux Emirats arabes unis pour 5 ans apres avoir suivi ma femme en 2008 pour son évolution de carrière, père au foyer la plus part du temps du fait des crises successives depuis cinq ans, Dois-je accepter la situation suivante?
• Ma femme m'a quitté en m'opposant le droit à rester dans le logement dont le contrat de bail à l'étranger etait à son nom
• Ma femme a pris la totalité des économies de notre foyer soit 60000 euros ou 1/3 de nos actifs nets
• Ma femme est rentrée en France du séjour aux Emirats avec mon fls alors que je n'etait même pas dans le pays pour l'en empêcher
Apres 15 mois de bataille pour éviter l'audience et me permettre de me remettre psychologiquement et matériellement grace au support familliale et aux amis, je me suis retrouvé devant un juge d'une trentaine d'année qui sous pretexte que je lui tendais une lettre lui disant que je n'avais jamais reçu de convocation physique à mon adresse aux Emirats, me pria de sortir immédiatement de son bureau.
Pas d'entretien individuel comme la procédure le commande donc et pas une question concernant la possibilité de garder mon enfant qui bien entendu restera avec sa mère, c'est evident.
Adam 9 ans, un père au foyer pendant presque 5 ans et plus rien.
Mon propos est de dire ici que la justice n est pas la même pour tous car si c'était moi qui avait commis de tels actes en lieu et place de ma femme, c'est peut être d'une prison que je vous ecrirais cette lettre aujourd hui.
Avec mes remerciements, veuillez recevoir mes sincères salutations.
Christophe Pinot
Vous trouvez ce commentaire constructif : nonneutreoui
Le 27/01/2014 à 18:32, cpinot a dit :
Messieurs Mesdames les deputes,
Mon audience de non concilliation vient d'avoir lieu ce 20 janvier 2014 et pour la toute première fois de ma vie, à 40 ans et j'espère la dernière, je viens d'avoir à faire à la justice de mon pays. Celle en l'occurence, que représente le tribunal de grande instance de Paris et la section des affaires familliales. Expatrié en famille aux Emirats arabes unis pour 5 ans apres avoir suivi ma femme en 2008 pour son évolution de carrière, père au foyer la plus part du temps du fait des crises successives depuis cinq ans, Dois-je accepter la situation suivante?
• Ma femme m'a quitté en m'opposant le droit à rester dans le logement dont le contrat de bail à l'étranger etait à son nom
• Ma femme a pris la totalité des économies de notre foyer soit 60000 euros ou 1/3 de nos actifs nets
• Ma femme est rentrée en France du séjour aux Emirats avec mon fls alors que je n'etait même pas dans le pays pour l'en empêcher
Apres 15 mois de bataille pour éviter l'audience et me permettre de me remettre psychologiquement et matériellement grace au support familliale et aux amis, je me suis retrouvé devant un juge d'une trentaine d'année qui sous pretexte que je lui tendais une lettre lui disant que je n'avais jamais reçu de convocation physique à mon adresse aux Emirats, me pria de sortir immédiatement de son bureau.
Pas d'entretien individuel comme la procédure le commande donc et pas une question concernant la possibilité de garder mon enfant qui bien entendu restera avec sa mère, c'est evident.
Adam 9 ans, un père au foyer pendant presque 5 ans et plus rien.
Mon propos est de dire ici que la justice n est pas la même pour tous car si c'était moi qui avait commis de tels actes en lieu et place de ma femme, c'est peut être d'une prison que je vous ecrirais cette lettre aujourd hui.
Avec mes remerciements, veuillez recevoir mes sincères salutations.
Christophe Pinot
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui