Sur ce débat assez fondamental, j’en conviens, monsieur le président, je voudrais éclairer les choses. Elles me semblent assez simples, et M. Fasquelle a raison de s’interroger. Ceux qui lèvent la main quand on demande qui est pour sont pour, ceux qui lèvent la main quand on demande qui est contre sont contre, ceux qui n’ont levé la main ni dans un cas ni dans l’autre s’abstiennent. Cela me paraît assez évident !