…de recentrer la géographie prioritaire de la politique de la ville sur 1 300 quartiers, contre 2 500 actuellement. Nous pouvons comprendre cette volonté de rationaliser l’action publique pour vous concentrer sur les poches de pauvreté qui subsistent.
L’instauration d’un critère unique pour l’identification de ces quartiers, à travers le seul prisme de la pauvreté, devrait d’ailleurs nous prémunir de toute subjectivité ; je le dis d’autant plus que j’y étais assez opposé au début de nos travaux et que vous m’avez convaincu sur ce point précis.
Il est donc étonnant que l’impartialité affichée de ce nouvel outil ne vous ait pas conduit à nous présenter la liste de ces quartiers.