En France, les PME emploient, à elles seules, 75 % des salariés du secteur privé et produisent 50 % du PIB. À ce titre, elles sont un puissant levier de croissance. Leur développement doit donc être à la base de notre stratégie économique. La taille des PME françaises étant moins importante que celles de nos principaux partenaires, en particulier allemands, la question revêt pour elles une importance fondamentale : il est indispensable qu’elles puissent trouver les financements nécessaires au développement de leurs projets en matière de recherche et développement.
L’objet de l’amendement no 17 , déposé par notre collègue Jean-Charles Taugourdeau, est de permettre aux PME d’emprunter de manière certaine auprès de leur établissement de crédit, lorsqu’elles sont en difficulté, 50 % du montant rapporté à celui-ci par l’entreprise.