Si l’on peut comprendre que le manque de courtoisie et la difficulté à engager un vrai dialogue constructif avec les banques puissent parfois heurter certains de nos collègues, j’émettrai tout de même un avis défavorable : en général, les banques reçoivent les chefs d’entreprise lorsqu’elles sont sollicitées – si nécessaire, après intervention du médiateur du crédit, dont j’ai déjà parlé. Imposer l’obligation d’une rencontre entre la banque et l’entreprise sollicitant un prêt, comme le fait l’amendement no 16 , ne me paraît pas opérant, c’est pourquoi j’émets un avis défavorable.