Je me contenterai de m’exprimer sur l’amendement no 52 . Peut-être le président Brottes pourra-t-il répondre à l’interpellation de M. Fasquelle. Je donne à l’amendement un avis défavorable, tout simplement parce qu’il va à l’encontre de ce que souhaite faire le Gouvernement, notamment à travers la loi ALUR. Notre souhait est en effet de prendre toujours davantage en compte les aspects environnementaux des projets d’urbanisme en général, et d’urbanisme commercial en particulier. Adopter cet amendement qui, il faut le souligner, ne concerne que d’éventuelles extensions, et non l’existant, constituerait à mon sens un vrai recul.