Votre question, qui porte sur un sujet important, aurait gagné à ne pas être précédée d’une introduction qui n’avait vraiment pas lieu d’être. Quand vous parlez de délinquants qui sont relâchés sitôt après avoir été arrêtés, je vous rappelle que nous n’avons pas encore modifié une seule virgule du code pénal. Par conséquent, toutes les critiques que vous cherchez à porter à l’égard de mon action et de ma personne, vous les portez en réalité à l’égard de l’institution judiciaire et des magistrats, ce qui ne me paraît pas un acte témoignant d’un grand respect de la démocratie !