Je constate que vous avez des difficultés à admettre que les méthodes employées sous votre quinquennat sont désormais révolues, puisque vous continuez à raisonner comme si elles avaient encore cours. Je répète ce que j’ai dit à M. Gérard, à savoir que les propos du général Soubelet doivent s’interpréter comme une analyse des effets des lois que vous avez votées, des dispositions de procédure pénale que vous avez mises en place.