Monsieur le ministre, madame la présidente de la commission des affaires sociales, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je voudrais à mon tour adresser félicitations et remerciements. Je remercie tout d’abord Sylvie Loisel, qui m’a fait découvrir un autre pan du droit du travail. Finir avec la loi Sapin après avoir commencé à l’Assemblée avec les lois Auroux, c’est une belle continuité ! Je sais désormais la façon un peu particulière dont certaines dispositions essentielles peuvent être adoptées dans cette noble assemblée…
Je me félicite aussi de l’état d’esprit qui a régné lors de nos travaux et remercie tout particulièrement M. Cherpion de son exquise courtoisie qui ne se dément jamais, quelles que soient les circonstances, ou presque.