Madame la députée, vous l'avez dit vous-même, nous atteignons, s'agissant de l'agriculture bio, le taux de 3,2 %, alors que l'objectif du Grenelle était de 20 %. Je pense qu'il convient de changer la stratégie, donc notre ligne sur la bio. Considérer, en effet, que la bio se résume simplement aux surfaces agricoles utilisées en bio, c'est prendre le risque que la production bio ne trouve pas de débouchés et qu'elle ne s'effondre, car, pour exister, elle doit produire des produits bio, les transformer et trouver des débouchés sur le marché.