Nous sommes bien obligés d'attendre la parution d'un rapport, puisque nous nous situons à l'échelle de l'Europe !
Ce rapport évaluera les risques que présentent ces molécules et les conséquences exactes de leur utilisation. Cela ne nous empêche pas de continuer à travailler, comme je l'ai indiqué hier, sur la partie « Cruiser maïs » et sur ces molécules qui, semble-t-il, soulèvent dans certains pays, en Europe, plusieurs questions. Nous devrons revoir tout cela. Nous pourrons alors prendre les décisions qui s'imposeront.