Mesdames et messieurs les députés, je veux répondre à quelques éléments des interventions de la discussion générale.
Je m’adresse d’abord aux députés qui regrettent de ne pas avoir à examiner une grande loi sur la famille. La discussion générale, ainsi que, je suppose, la prochaine discussion des articles, auraient plutôt tendance à confirmer que notre choix d’examiner les choses étape par étape, sujet par sujet, est le choix le plus prudent et le plus constructif.