Monsieur Dhuicq, ces propos ne vous servent pas, vous qui ne manquez pas une occasion ici de parler non en tant que parlementaire mais en tant que psychiatre, et de nous faire profiter de vos connaissances, même si elles ne sont pas forcément partagées par l’ensemble de vos confrères.
Cette remarque étant faite, au nom du Gouvernement, je présente mes excuses, parce que vous ne le ferez sans doute pas, aux parents des enfants autistes.