Après la séparation de ses parents, il est chez lui – il est « chez nous », parce que c’est comme ça que parlent les gens : « tu es chez nous, tu es chez toi dans les deux maisons, chez ton papa comme chez ta maman. »
C’est très important, au regard des chiffres que vous n’évoquez jamais quand vous parlez de l’intérêt supérieur de l’enfant : le nombre de ceux qui, au fil du temps, s’éloignent de plus en plus de leur père, ne sont plus accueillis chez lui, perdent tout contact avec lui. C’est donc une mesure symbolique pour l’enfant, c’est une mesure rassurante et sécurisante pour lui, c’est une belle mesure.
Quant à votre interprétation de l’alternance, où est-il écrit qu’« alternance » veut dire « 50-50 » ?