Nous avons effectivement de bons critères de performance s’agissant des formations. Nos quatre belles écoles, l’École nationale de la magistrature, l’École nationale de l’administration pénitentiaire, l’École nationale de la protection judiciaire de la jeunesse, l’École nationale des greffes – et je le dis avec plaisir, nous ne les avons pas créées il y a deux ans – dispensent une formation et l’évaluent. Elles forment nos conseillers d’insertion plus longtemps que vous ne l’affirmez.
Les conseillers d’insertion et de probation effectuent une année de formation à l’école et une année dans leur futur service d’affectation. Vous avez parlé des surveillants de prison. Je peux y revenir. Ainsi, la création de 536 postes que vous avez prévue sur trois lois de finances n’est pas financée. Ces postes existent donc virtuellement, mais il n’y a pas un euro pour les financer.