J’avoue ne pas être d’accord sur toute la ligne avec le dernier point de vue exposé.
Je ne comprends pas très bien votre réponse, monsieur le ministre : le fait qu’un seul interlocuteur soit chargé d’intervenir sur les marchés extérieurs me semble être un atout dans la concurrence internationale. J’ai donc beaucoup de mal à comprendre les arguments que vous avez exposés. Ceux de M. Savary me semblent franchement plus éclairants.