Je confirme les propos de Mme la rapporteure générale. Dans cette modification de crédits, il s’agissait de constater une non-exécution d’une partie des programmes d’investissements d’avenir. Ce redéploiement ne remet pas en cause les nouvelles enveloppes votées par le Parlement, c’est-à-dire les crédits à hauteur de 1,94 milliard d’euros sur la mission « Écologie », qui correspondent au deuxième plan d’avenir.
Je comprends que tout est prioritaire. Le problème est que chacun s’accorde à dire qu’il faut faire des économies de dépense, mais de préférence chez le voisin.