En deux mots, cet amendement vise à supprimer les annulations de crédits sur le budget du ministère du travail. En effet, si nous voulons vraiment atteindre et financer les 200 000 emplois d’avenir en stock fin 2014, en utilisant toutes les souplesses que permet la loi sur les emplois d’avenir, ces crédits sont nécessaires. Je maintiens donc cet amendement.