Vous avez raison, madame la présidente. C’est une étourderie : je viens de défendre l’amendement no 55 et je vous prie de bien vouloir m’excuser.
L’amendement no 56 concerne la situation des salariés qui sont licenciés, souvent pour des motifs discriminatoires, en raison de leur sexe ou de leur état de grossesse, et qui gagnent aux prud’hommes. Il vous est proposé que les salaires qui leur étaient dus dans la période qui s’est écoulée entre leur licenciement abusif et le jugement qui leur donne droit leur soit payé par l’employeur.