En un mot, le problème de cette seconde fraction, c’est qu’elle dépend du choix souverain des électeurs. C’est cela qui, à la différence de la première fraction, rend compliqué la mise en place d’une pénalité financière. Il y a, par définition, une incertitude quant à la répartition de cette deuxième fraction. Je suis donc, moi aussi, défavorable à l’amendement.