Il est intéressant de noter que cette question du vivier ne se pose pas, étrangement, pour les fédérations qui ont un très faible taux de licenciés masculins, mais dont les instances dirigeantes atteignent pourtant quasiment la parité.
Le retour à 50 % est crucial, car il est la condition de l’égalité réelle, qui est l’objet même du texte. C’est un objectif cohérent, lisible, symboliquement fort, qui représente l’exacte traduction de la parité. À l’inverse, le taux de 40 % voulu par le Sénat n’est qu’un quota, défini arbitrairement.