À vous qui venez de lui succéder, monsieur le secrétaire d’État, dans cette éminente fonction, je vous recommande surtout de ne pas imiter sa politique. En effet, la Cour des comptes nous donne aujourd’hui raison car son rapport publié fin mai signale une baisse de recettes de 14,6 milliards d’euros. Vous nous avez très professionnellement expliqué, monsieur le secrétaire d’État, que tout cela est dû à l’élasticité des recettes à la croissance et vous avez parfaitement raison, mais fallait-il tenter d’en donner une définition scientifique ?