Pourquoi est-ce si difficile ? Sans doute pour des raisons culturelles. Sans doute, aussi, parce que dans une société où le citoyen est souvent plus consommateur que citoyen, l’administration ouvre, comme d’autres, son parapluie de « normes refuges ».
Simplifier, c’est une telle révolution que les principaux intéressés n’y croient pas. L’un d’entre eux nous disait jeudi : « Je vous adresse une véritable supplique – oui, le mot est fort –, je vous demande non pas de simplifier, mais de cesser d’ajouter de nouvelles normes. »