Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, monsieur le président de la commission des finances, madame la rapporteure générale, mes chers collègues, je n’utiliserai qu’une partie du temps qui m’est imparti, pas seulement parce que nous avons tout dit, puisque nous sommes en troisième lecture, ou parce que je vous sais impatients de voir vos souffrances abrégées, mais parce que je veux concentrer mon propos sur une seule idée et y insister particulièrement.