Je reviens sur les OPEX : nous disposons de 450 millions de crédits en 2014 alors qu'en 2013 les coûts ont atteint 1,25 milliard d'euros. Malgré le désengagement en Afghanistan, nous savons d'ores et déjà que les surcoûts seront importants cette année. Quelles sont donc les perspectives ouvertes par vos négociations avec Bercy, afin d'éviter que le budget de la Défense soit affecté ? Nos partenaires européens ne sont-ils pas préoccupés par ce décalage entre les crédits inscrits et le coût réel des opérations, ce qui pourrait expliquer leurs hésitations à nous aider ?