En matière de parité, on connaît bien le problème des organismes dont les membres sont d’origines diverses. S’agissant de ces conférences, ce que nous ne savons pas, c’est le nombre de représentants que nommera chaque organisme. Mais si les collectivités territoriales par exemple nommaient deux personnes, nous pourrions exiger que ce soit un homme et une femme ! S’agissant du président du conseil général et de celui de l’ARS, pas la peine de se poser la question, ce seront des hommes…