Il y a dans ces amendements deux éléments d’égale importance, dont l’un procède de l’autre : considérer la perte d’autonomie comme une discrimination représente une avancée morale collective extrêmement importante, dont je vous félicite, et cela permet au Défenseur des droits d’intervenir dans des situations souvent très difficiles entre les personnes âgées, les familles et les professionnels.
C’est donc une excellente mesure que vous avez proposée en faveur de la défense et de la protection des personnes en perte d’autonomie. Je suis donc favorable à ces amendements.