Je rejoins les propos de M. Eckert. Il est vrai que les sommes ne sont pas très importantes. Je m'étais pour ma part engagée, M. Rousset le sait, à accepter des amendements. Je m'en remets, par conséquent, à la sagesse de l'Assemblée. Il vous revient maintenant de choisir, sachant que M. Rousset va s'exprimer et que je serai éventuellement amenée à reprendre la parole après lui.