Le problème évoqué par Gilles Lurton est un problème national, dont on a connaissance depuis un certain nombre d’années. Les religieux et les religieuses avaient des maisons de retraite spécifiques mais, comme leur nombre baisse au fil des ans, ces maisons reçoivent moins de monde qu’auparavant. Ces établissements, qui ne demandaient aucun soutien financier, ni à l’État, ni aux collectivités locales ont, au fil du temps, afin de conserver leur équilibre financier, commencé à admettre aussi les parents de religieux ou de religieuses.
Dans certains départements, par exemple en Moselle – et Mme la secrétaire d’État l’a parfaitement dit –, en engageant une discussion avec l’ARS, et surtout le Conseil général, et en s’alignant sur certaines règles, comme les conventions triparties, le problème a pu être réglé. À moins, et cela peut toujours arriver, que des oppositions locales ne se manifestent, c’est localement que ce type de problème doit être réglé. J’ajoute que tous ces établissements sont très bien tenus.