Il est favorable. Je veux donner quelques exemples qui vous montreront, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, qu’une approche globale et cohérente permet de très bien fonctionner.
Je me souviens de la création du Défenseur des droits, lors de la législature précédente. Il existait alors une autre autorité, le Défenseur des enfants. Je le dis très honnêtement, nous avions été assez inquiets : nous dénoncions la disparition du Défenseur des enfants et nous nous demandions comment la nouvelle autorité allait fonctionner.