Je ne veux pas allonger inutilement nos débats, puisque la discussion générale a permis aux uns et aux autres de faire valoir leurs arguments. Pour l’ensemble de ceux que j’ai développés tout à l’heure et qui rejoignent ceux que M. le secrétaire d’État vient d’exposer, sans qu’il soit nécessaire d’imaginer que nous serions a priori défavorables au vote électronique, nous proposons la suppression de l’article 1er.