Je l’en félicite, et je me félicite qu’une fois de plus, le Gouvernement ait changé d’avis.
Enfin, vous n’êtes pas au rendez-vous de cette proposition de loi organique. C’est votre droit, mais je suis persuadé que là encore, dans quelques années, vous nous donnerez raison.
Je ne veux pas faire d’amalgame, mais je constate que dans cet hémicycle, quatre partis sont favorables à ce texte, tandis que deux partis y sont défavorables : le parti socialiste et le Front national. C’est un pur hasard.