Ce sous-amendement consiste simplement à différer d'un mois l'application de cette disposition. Pour le reste les trois propositions de M. Bachelay, de M. Baupin et de moi-même sont tout à fait identiques.
Comment peut-on expliquer que dans notre pays, l'automobile, plus polluante que le vélo, soit mieux traitée que ce dernier ? Notre objectif est très modeste. Il s'agit simplement de traiter le vélo comme moyen de déplacement professionnel ni mieux ni moins bien que le véhicule automobile.
Cela fait partie du plan national vélo adopté par le précédent gouvernement. Le CERTU a en outre rendu une étude tout à fait favorable à cette indemnité kilométrique, appliquée dans beaucoup de pays comme la Belgique, l'Allemagne et les Pays-Bas. Elle a par exemple permis à la Belgique d'augmenter de 50 % le nombre de salariés venant travailler à vélo.