Nous sommes nombreux à considérer que l'usage du vélo, électrique ou non, est une bonne chose. Mais dans la situation des finances publiques qui est la nôtre, il faut se demander s'il est absolument indispensable que l'État vienne à notre secours chaque fois qu'on fait quelque chose d'intelligent.
Dans le même registre de bon sens nocturne, je m'interroge sur ce que sont au juste les frais de déplacement d'un salarié à vélo : sans doute le péage, ou les frais de stationnement ? À un moment donné, on se heurte à des limites quant à ce qu'on peut subventionner. (Sourires)