Ainsi que je le disais dans la discussion générale, si on considère qu’il faut aller au-delà de la baisse de l’endettement structurel, on peut toujours prendre purement et simplement la « bonne dette » et la « mauvaise dette » et tout mélanger, pour reprendre des expressions plus populaires mais que nous avons entendues dans cette enceinte. Quand les collectivités territoriales représentent moins de 10 % de l’endettement public mais 73 % de l’investissement et qu’on cherche quel moteur on peut allumer ou pousser, on ne se prive pas de cela. C’est la raison pour laquelle je présenterai un amendement pour rétablir la DGF au niveau observé l’année dernière.