Il n’y avait pas d’autre destination des recettes de l’écotaxe. On peut ergoter et s’interroger sur la personne qui doit payer les infrastructures : un jour celui qui achète son gazole, un autre jour celui qui emprunte la voie ? Effectivement, il y a là une nuance qui n’a échappé à personne. Ce débat est tout à fait légitime ; en revanche, je ne peux accepter l’argument qui consiste à dire que le versement du produit de la taxe à l’AFITF est proprement scandaleux.