Non seulement vous augmentez les cotisations, mais en outre – car votre démonstration est incomplète –, pour ce qui est du reversement, par exemple les allocations familiales, vous décidez que plus les gens cotiseront, moins ils toucheront.
En définitive, à quoi mène votre politique ? Eh bien, comme vous n’arrivez pas à améliorer le sort des Français, en particulier celui des plus modestes, vous faites en sorte d’abaisser ceux qui ont un peu plus. Mais, monsieur le secrétaire d’État, ce n’est pas en appauvrissant le riche que vous enrichirez le pauvre !