Je voudrais revenir sur les propos que vient de tenir M. le rapporteur pour avis de la commission des finances. Je demande simplement qu’il présente ses excuses à chacune et à chacun des membres de la commission des affaires sociales. Il a traité certains d’entre nous, qui siégeons dans cette commission depuis longtemps, de députés qui ne disposeraient pas de toutes les connaissances, de toutes les compétences qui sont celles de cet érudit qu’il prétend être mais dont nous doutons qu’il ait de réelles valeurs humaines.