Je ne vise personne en particulier : la période est difficile pour tout le monde. Quoi qu’il en soit, nous proposons tout de même plusieurs mesures de recettes.
Quant aux dépenses, il va de soi que je partage votre volonté de maîtriser les déficits. Par cet amendement, je veux simplement expliquer que les collectivités locales et l’État, sur son patrimoine, peuvent engager des dépenses d’économies d’énergie qui s’autofinancent et qui peuvent contribuer à relancer l’économie dans cette période où plane une menace. Voilà tout ce que j’ai voulu dire ; n’interprétez pas davantage le sens de cet amendement.
Enfin, je reviens sur le montant de 420 millions que vous avez cité concernant l’amendement précédent et qui m’a stupéfié. Si l’on estime que 200 000 des 500 000 apprentis sont dans la tranche des jeunes entre vingt et vingt-et-un ans, le coût est de 100 millions à raison de 500 euros par an. J’ignore donc comment vous arrivez à 420 millions.