Comme l’ont rappelé M. le secrétaire d’État et M. Le Roux tout à l’heure, il s’agit bien, avec ce crédit d’impôt financé par les contribuables français, de renforcer la compétitivité des entreprises françaises, et donc de la recherche française. Nous savons bien que la libre circulation doit être assurée à l’intérieur de l’espace européen, mais nous ne proposons que de rendre cohérents, à l’intérieur du crédit d’impôt recherche, deux mécanismes qui répondent aujourd’hui à des logiques un peu différentes.