Permettez-moi de poursuivre mon argumentation, chers collègues. Je ne vois pas en quoi il serait scandaleux d’avoir huit vice-présidents à l’Assemblée nationale. Il est important de garantir le pluralisme. Au sein du Bureau, le pluralisme est garanti s’agissant des douze secrétaires, mais tel n’est pas le cas pour les autres membres, qui exercent les responsabilités les plus importantes, à savoir les six vice-présidents et les trois questeurs. Trois groupes sur six ne sont absolument pas représentés.
J’avoue ne pas comprendre comment l’on peut s’opposer à un tel amendement qui ne coûte rien à l’Assemblée et qui lui permettrait à l’évidence de fonctionner encore mieux.