Nous faisons partie des groupes qui sont concernés. Je ne vois pas en quoi le fait de rajouter deux vice-présidents et de permettre à tous les groupes de s’exprimer au sein du Bureau gênerait le bon fonctionnement de l’Assemblée.
En 2008, j’étais alors dans la majorité, nous avons fait évoluer les choses. Nous pourrions peut-être poursuivre et franchir une dernière étape. Ce n’est pas une question de travail bien fait ou mal fait. Il s’agit seulement de faire en sorte que chaque groupe soit représenté. C’est cohérent, logique.
N’oublions pas qu’un jour, nous sommes dans la majorité, demain, dans l’opposition. Tout change très vite. Nous travaillons tous les uns pour les autres.