L’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne ont perdu cinq à six points par rapport à 2008. Nous sommes à 1,2 point au-dessus, et l’Allemagne, à un peu plus de 2. Nous n’avons donc pas à rougir de la façon dont notre structure financière et sociale nous a permis de traverser la crise –avec des difficultés, j’en conviens, mais pour des résultats loin de ressembler à l’apocalypse que vous décrivez tous les jours.