Je voulais simplement expliquer pourquoi j’ai cosigné l’amendement no 191 de Charles de Courson, qui vise à supprimer un régime fiscal dérogatoire en direction des organismes chargés de l’organisation de manifestations de niveau européen ou international.
Le message que je souhaite adresser à mes concitoyens, c’est que l’on ne peut pas leur demander des efforts depuis 2008, année du début de la crise financière et économique, laquelle s’enracine sur le territoire national, et, en même temps, envoyer des signes laissant penser que le gigantisme financier, qui dépasse l’entendement humain, serait exonéré de toute solidarité.
Éthiquement, cela me gêne. Compte tenu de la crise nationale, européenne et internationale, la France s’honorerait d’organiser un débat européen et international, afin de réfléchir à l’organisation d’une solidarité nouvelle.