…parce que, finalement, c’est la justice qui donne raison à la position que je défends.
Si, invité par M. le président à défendre ces amendements de manière conjointe, j’ai élargi le sujet, c’est qu’il ne servait à rien de répéter dans le détail la défense de l’amendement précédent, mais qu’il fallait plutôt poser les vraies questions : comprendra-t-on qu’il faut traiter de manière équitable nos compatriotes à l’étranger ? Comprendra-t-on qu’il faut respecter la justice et l’équité ? Dans ses conclusions, l’avocate générale ne dit pas autre chose que ce que je répète depuis des mois.