À ce titre, nous soutenons cette convention et, mon cher collègue, nous n’avons pas changé d’avis.
Toutefois, et sans en appeler à la Pythie, nous ne pourrons voter en faveur de cette ratification qu’à la condition que le Gouvernement nous affirme et réaffirme très clairement que son souhait n’est pas, à travers cette convention, de taxer les non-résidents.